James Stirling / Peter Buchanan
Source: Architecture intérieure. CREE, n. 250, 0/1992, pp. 98-111Auteur principal: Buchanan, PeterLangue:français.Publication:PARIS, Société d'Edition et de Presse, 1992Cote: Archi Créé Résumé: James Stirling ne construisait plus dans son pays depuis des années. L'hommage que lui rend le critique britannique P. Buchanan fait la part, sans concession, entre le tempérament provocateur, délibérément ironique de l'homme, et la quête anxieuse de l'architecte, homme d'art et de culture marqué par l'histoire. C'est en Allemagne que s'élève la dernière réalisation de J. Stirling, le complexe industriel de Melsungen, construit pour les laboratoires Braun. Une oeuvre testament issue à la fois de son parcours personnel, et de sa manière de concevoir et de mener un projet, une affaire d'hommes et d'équipe. ses associés berlinois, W. Nägeli et R. Vellebuona, commente cet ultime projet où le fonctionnalisme minimaliste, préconisé depuis l'après-guerre, disparaît pour favoriser, au contraire, l'introduction de formes appropriées et représentatives..Personnalité: Buchanan, Peter | Stirling, JamesThématique: Bâtiment industriel | XXeGéographie: Grande-Bretagne | MelsungenType de document:Article Item type: ArticleCurrent library | Call number | Status | Date due | Barcode | |
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Camondo Périodiques | AIC 250/108 (Browse shelf(Opens below)) | Not for loan | AIC 250/108 |
James Stirling ne construisait plus dans son pays depuis des années. L'hommage que lui rend le critique britannique P. Buchanan fait la part, sans concession, entre le tempérament provocateur, délibérément ironique de l'homme, et la quête anxieuse de l'architecte, homme d'art et de culture marqué par l'histoire. C'est en Allemagne que s'élève la dernière réalisation de J. Stirling, le complexe industriel de Melsungen, construit pour les laboratoires Braun. Une oeuvre testament issue à la fois de son parcours personnel, et de sa manière de concevoir et de mener un projet, une affaire d'hommes et d'équipe. ses associés berlinois, W. Nägeli et R. Vellebuona, commente cet ultime projet où le fonctionnalisme minimaliste, préconisé depuis l'après-guerre, disparaît pour favoriser, au contraire, l'introduction de formes appropriées et représentatives.